La saison froide prend toute une nouvelle tournure quand vous avez des petits. Dès que les bébés découvrent la connexion mains-bouche, toute chose saisissable est livrée, par un minuscule poing potelé, directement devant les gencives pour ronger, déguster et explorer en bavant joyeusement. A la petite enfance, ils deviennent tellement fascinés par les trous de leur nez, qu’il y a un index coincé en permanence dans une narine, pour jouer dans ce terrain crasseux. En résumé, entre la naissance et la maternelle (et probablement au-delà), s’il y a un germe à portée de la main, celui-ci fera la navette vers un orifice du visage de manière enthousiaste et en temps opportun. Avec un enfant de deux ans en garderie à temps partiel et un jeune bébé à la maison, cela se traduit par un cycle sans fin, de microbes désagréables dans ma famille, de l’automne jusqu’au printemps. Tout d’abord le bambin attrape un rhume à l’école et inévitablement éternue sur tout ce qui l’entoure. Puis bébé l’attrape et le partage joyeusement avec les adultes privés de sommeil. Et dès que tout le monde redevient enfin, en bonne santé, tout recommence à nouveau. Pour limiter la propagation des germes, nous enseignons et démontrons l’étiquette à suivre pendant la maladie, c’est-à-dire tousser dans le creux de la manche, essuyer le nez avec un mouchoir en papier, pas avec la paume de la main et se laver les mains fréquemment (au moins avant les repas et après avoir fini de jouer). Mais c’est sans espoir de s’attendre à ce qu’un jeune enfant se rappelle de se laver les mains avant chaque collation, ou compter sur ses camarades au nez qui coule, d’éternuer dans leurs coudes au lieu de le faire sur la pâte à modeler utilisée par tout le groupe. Donc, il est dans notre intérêt personnel d’intensifier les mesures préventives pour pouvoir contrôler la propagation de la maladie. Pour garder notre système immunitaire en pleine forme, nous faisons de notre mieux pour s’assurer que tout le monde est bien reposé et bien nourris. Nous donnons la priorité à l’heure du coucher et à se nourrir de fruits et légumes de toutes les couleurs. C’est là qu’il devient intéressant de faire apparaître des probiotiques à la routine quotidienne chez les plus petits, comme chez les adultes, pour aider à limiter la maladie. Une foule de preuves appuient déjà le lien entre les bactéries vivantes dans le tube digestif et le fonctionnement du système immunitaire.1 Les probiotiques sont des souches vivantes de «bonnes » bactéries prises pour améliorer l’équilibre de cette colonie gastro-intestinale. En 2015, une révision de la recherche faite sur les probiotiques et les infections respiratoires supérieures, comprenant douze essais contrôlés et randomisés, dont six, étaient sur des enfants, a révélé une réduction probable de fréquence, de durée et de gravité des infections avec l’utilisation de probiotiques, ainsi qu’une diminution possible du besoin d’antibiotiques à prescrire.2 Les enfants dans les garderies sont trois fois plus à risque d’infection des voies respiratoires, mais les probiotiques pourraient régner la dedans; la recherche a démontré un effet positif des bonnes bactéries, pour réduire la fréquence et la gravité d’une maladie respiratoire, plus précisément chez les enfants en garderie. C’est un argument convaincant pour la prise de probiotiques, vous ne pensez pas ? Brisons ce cycle familial de microbes dès le départ. Lorsque vous choisissez un supplément de probiotique pour enfants, assurez-vous que celui que vous choisissez est viable et dans un format et une dose appropriés pour les plus petits. La nouvelle formule de Bio-K+, Bio-Kidz convient parfaitement dans ce cas–lait fermenté 100% probiotique et vivant, vient en doses individuelles et en 2 saveurs délicieuses, développé spécifiquement pour les enfants. Il contient du calcium et de la vitamine D, comme un bonus supplémentaire. En saison froide comme dans tout, une once de prévention vaut une livre de guérison. References: http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4566439/http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4653599/http://www.bmj.com/content/322/7298/1327.short